TURQUIE : LICENCIEE PARCE QUE FEMME, ELLE FAIT CONDAMNER SON PAYS
TURQUIE
Devant la justice, etre un gros bras n'est pas utile. Ce mardi, une
agent de securite turque, licenciee au seul motif qu'elle est une
femme, a fait condamner son pays par la Cour europeenne des droits
de l'homme (CEDH), pour>.
>, a tranche la Cour,
qui a ordonne a Ankara de verser 10.000 euros a la requerante, pour
prejudice moral.
Cette femme aujourd'hui âgee de 39 ans, avait ete licenciee en 2004
du poste d'agent de securite qu'elle occupait depuis près de trois ans
dans une entreprise publique - emploi qu'elle avait pourtant obtenu en
reussissant un concours. Motif de son renvoi : elle etait une femme
et n'avait pas effectue son service militaire. La requerante avait
ensuite conteste cette decision devant les tribunaux turcs, en vain.
Vers un appel de la Turquie ?
>, ont observe les juges de la CEDH. De
ce fait, > peuvent amener
a estimer compatible avec la Convention europeenne des droits de
l'homme une difference de traitement entre hommes et femmes telles
que celle invoquee dans cette affaire.
Cet arret n'est toutefois pas definitif. Les autorites turques ont
trois mois pour demander un nouvel examen de ce dossier, que la Cour
n'est pas tenue de leur accorder.
mercredi 3 decembre 2014, Stephane (c)armenews.com
TURQUIE
Devant la justice, etre un gros bras n'est pas utile. Ce mardi, une
agent de securite turque, licenciee au seul motif qu'elle est une
femme, a fait condamner son pays par la Cour europeenne des droits
de l'homme (CEDH), pour>.
>, a tranche la Cour,
qui a ordonne a Ankara de verser 10.000 euros a la requerante, pour
prejudice moral.
Cette femme aujourd'hui âgee de 39 ans, avait ete licenciee en 2004
du poste d'agent de securite qu'elle occupait depuis près de trois ans
dans une entreprise publique - emploi qu'elle avait pourtant obtenu en
reussissant un concours. Motif de son renvoi : elle etait une femme
et n'avait pas effectue son service militaire. La requerante avait
ensuite conteste cette decision devant les tribunaux turcs, en vain.
Vers un appel de la Turquie ?
>, ont observe les juges de la CEDH. De
ce fait, > peuvent amener
a estimer compatible avec la Convention europeenne des droits de
l'homme une difference de traitement entre hommes et femmes telles
que celle invoquee dans cette affaire.
Cet arret n'est toutefois pas definitif. Les autorites turques ont
trois mois pour demander un nouvel examen de ce dossier, que la Cour
n'est pas tenue de leur accorder.
mercredi 3 decembre 2014, Stephane (c)armenews.com