LES PATIENTS ATTEINTS DU VIH SE PLAIGNENT DE STIGMATES SOCIAUX
ARMENIE
Ceux qui ont ete testes positifs au virus de l'immunodeficience
humaine (VIH) en Armenie se plaignent que, malgre les avancees dans
la comprehension de la maladie, ils continuent d'etre victimes de
discrimination et de l'ostracisme.
La plupart n'ont pas revele leur maladie a leurs parents et, bien sûr,
encore moins dans le milieu du travail.
Sona Sahakian, 35 ans, a ete contrôle positive il y a 13 ans. Ses
parents ne sont pas conscients de son etat, ainsi que ses collègues,
où elle travaille en tant que professeur. Elle dit qu'elle aurait de
gros problèmes si les gens a son travail le decouvrait. (Les noms
des patients atteints du VIH dans cet article ont ete changes pour
proteger leur identite.)
, a dit Sam
Tadevosyan president de l'ONG Real World, Real People (RWRP).
L'organisation de Tadevosyan tente d'ameliorer la qualite de vie des
patients atteints du VIH, elle defend les droits de leurs familles
et les leurs. Travailleur social a RWRP Lilit Aleksanyan a dit
que conformement a la legislation armenienne, chaque personne,
independamment de son statut VIH, a des droits constitutionnels,
mais ils sont souvent violes par les medecins.
"En 2013, j'ai aide un de nos beneficiaires a subir une intervention
chirurgicale dans les services d'aide medicale gratuits garantis par
l'Etat. Je l'ai accompagne au centre medical, parle au medecin pendant
environ une demi-heure afin de le convaincre de faire la chirurgie,
meme s'il etait cense le faire. Lors de la conversation je lui ai
aussi rappele les droits de confidentialite de mon patient. Le medecin
a realise la chirurgie, mais l'ensemble du personnel a decouvert
la seropositivite du patient expliquant qu'il avait du le reveler
le statut de sorte que le personnel utilise des gants medicaux ",
a declare Aleksanyan.
Aleksanyan dit que, souvent, les medecins tentent de refuser de soigner
les patients VIH, justifiant leur refus par l'absence de specialiste
ou d'equipement necessaire, par differents excuses qu'ils evitent
autant que possible.
"Et recemment, un cas est arrive lorsque le chef du departement d'un
certain hôpital s'est approche de moi et a dit :
ARMENIE
Ceux qui ont ete testes positifs au virus de l'immunodeficience
humaine (VIH) en Armenie se plaignent que, malgre les avancees dans
la comprehension de la maladie, ils continuent d'etre victimes de
discrimination et de l'ostracisme.
La plupart n'ont pas revele leur maladie a leurs parents et, bien sûr,
encore moins dans le milieu du travail.
Sona Sahakian, 35 ans, a ete contrôle positive il y a 13 ans. Ses
parents ne sont pas conscients de son etat, ainsi que ses collègues,
où elle travaille en tant que professeur. Elle dit qu'elle aurait de
gros problèmes si les gens a son travail le decouvrait. (Les noms
des patients atteints du VIH dans cet article ont ete changes pour
proteger leur identite.)
, a dit Sam
Tadevosyan president de l'ONG Real World, Real People (RWRP).
L'organisation de Tadevosyan tente d'ameliorer la qualite de vie des
patients atteints du VIH, elle defend les droits de leurs familles
et les leurs. Travailleur social a RWRP Lilit Aleksanyan a dit
que conformement a la legislation armenienne, chaque personne,
independamment de son statut VIH, a des droits constitutionnels,
mais ils sont souvent violes par les medecins.
"En 2013, j'ai aide un de nos beneficiaires a subir une intervention
chirurgicale dans les services d'aide medicale gratuits garantis par
l'Etat. Je l'ai accompagne au centre medical, parle au medecin pendant
environ une demi-heure afin de le convaincre de faire la chirurgie,
meme s'il etait cense le faire. Lors de la conversation je lui ai
aussi rappele les droits de confidentialite de mon patient. Le medecin
a realise la chirurgie, mais l'ensemble du personnel a decouvert
la seropositivite du patient expliquant qu'il avait du le reveler
le statut de sorte que le personnel utilise des gants medicaux ",
a declare Aleksanyan.
Aleksanyan dit que, souvent, les medecins tentent de refuser de soigner
les patients VIH, justifiant leur refus par l'absence de specialiste
ou d'equipement necessaire, par differents excuses qu'ils evitent
autant que possible.
"Et recemment, un cas est arrive lorsque le chef du departement d'un
certain hôpital s'est approche de moi et a dit :