BRUXELLES : UNE JEUNE ARMENIENNE CHOQUEE PAR LES CONDITIONS DE DETENTION
Immigraton
Elèves detenues : "Ne fermez pas les yeux sur ceux qui sont dans
mon cas"
Sjuzana, l'elève du lycee Guy Cudell a Saint-Josse-ten-Noode arretee
le 10 decembre dernier pour defaut de titre de sejour, a appele mardi,
au soir de sa remise en liberte, a soutenir les autres elèves qui
sont detenues en centres fermes.
La jeune femme de 18 ans s'est dite choquee par ses conditions de
detention. "C'est comme une prison. Mais on n'est pas des criminels !",
a-t-elle clame. "Je pense qu'un endroit pareil ne devrait pas exister
pour les gens qui n'ont pas de papiers. Dans mon dortoir, on etait
13 femmes sur 18 places. J'etais avec des femmes âgees qui etaient
malades. Il y avait des femmes enceintes, mais pas de gynecologues. Il
y avait une elève qui avait 18 ans comme moi. Cela fait trois mois
qu'elle est la. Elle a appele son ecole, mais elle n'a pas obtenu de
soutien. Si je suis sortie après seulement 13 jours, c'est grâce a
tous ceux qui se sont mobilises pour moi et je les en remercie. Mais ne
fermez pas les yeux sur ceux qui sont dans mon cas", a supplie Sjuzana.
Lire la suite voir lien plus bas
mercredi 24 decembre 2014, Jean Eckian (c)armenews.com
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=106409
Immigraton
Elèves detenues : "Ne fermez pas les yeux sur ceux qui sont dans
mon cas"
Sjuzana, l'elève du lycee Guy Cudell a Saint-Josse-ten-Noode arretee
le 10 decembre dernier pour defaut de titre de sejour, a appele mardi,
au soir de sa remise en liberte, a soutenir les autres elèves qui
sont detenues en centres fermes.
La jeune femme de 18 ans s'est dite choquee par ses conditions de
detention. "C'est comme une prison. Mais on n'est pas des criminels !",
a-t-elle clame. "Je pense qu'un endroit pareil ne devrait pas exister
pour les gens qui n'ont pas de papiers. Dans mon dortoir, on etait
13 femmes sur 18 places. J'etais avec des femmes âgees qui etaient
malades. Il y avait des femmes enceintes, mais pas de gynecologues. Il
y avait une elève qui avait 18 ans comme moi. Cela fait trois mois
qu'elle est la. Elle a appele son ecole, mais elle n'a pas obtenu de
soutien. Si je suis sortie après seulement 13 jours, c'est grâce a
tous ceux qui se sont mobilises pour moi et je les en remercie. Mais ne
fermez pas les yeux sur ceux qui sont dans mon cas", a supplie Sjuzana.
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mercredi 24 decembre 2014, Jean Eckian (c)armenews.com
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=106409