FRANCE
Guy Canivet :
aurait déclaré M. Canivet.
> a-t-il
dit.
Il aurait également abordé la différence entre le génocide juif et le
génocide arménien. Selon lui "le génocide juif est un fait historique
reconnu par la cour et cela se reflète dans la décision du tribunal de
Nuremberg. Et nous avons constaté que le génocide arménien n'a jamais
fait l'objet d'une décision de justice, et n'a été étudié par un
tribunal local ou international. Cela ne signifie pas que si une
audience n'a pas eu lieu, un tel fait ne s'est pas produit. Mais nous
avons examiné la question et décidé que le contexte historique dans
lequel il s'est produit, n'a pas été suffisamment précisé, c'est à
dire qu'il est toujours possible de le contester avec différents
points de vue historiques. Il n'y a pas de décision simple, claire,
concise et universellement reconnue. Nous avons donc décidé qu'il
serait mieux de donner libre cours à des historiens concernant les
études historiques, des documents, des recherches et des publications
>> a-t-il ajouté.
Abordant la possibilité de discussion répétée et l'adoption d'une loi
similaire par le Parlement français, Guy Canivet n'a pas exclu
l'adoption d'une nouvelle résolution :
From: A. Papazian
Guy Canivet :
aurait déclaré M. Canivet.
> a-t-il
dit.
Il aurait également abordé la différence entre le génocide juif et le
génocide arménien. Selon lui "le génocide juif est un fait historique
reconnu par la cour et cela se reflète dans la décision du tribunal de
Nuremberg. Et nous avons constaté que le génocide arménien n'a jamais
fait l'objet d'une décision de justice, et n'a été étudié par un
tribunal local ou international. Cela ne signifie pas que si une
audience n'a pas eu lieu, un tel fait ne s'est pas produit. Mais nous
avons examiné la question et décidé que le contexte historique dans
lequel il s'est produit, n'a pas été suffisamment précisé, c'est à
dire qu'il est toujours possible de le contester avec différents
points de vue historiques. Il n'y a pas de décision simple, claire,
concise et universellement reconnue. Nous avons donc décidé qu'il
serait mieux de donner libre cours à des historiens concernant les
études historiques, des documents, des recherches et des publications
>> a-t-il ajouté.
Abordant la possibilité de discussion répétée et l'adoption d'une loi
similaire par le Parlement français, Guy Canivet n'a pas exclu
l'adoption d'une nouvelle résolution :
From: A. Papazian