REVUE DE PRESSE
Hollande honore le groupe Manouchian et la résistance
Ce vendredi, au Mont-Valérien, le président de la République rend
hommage au groupe Manouchian et confirme l'entrée au Panthéon de
résistants dont aucun communiste. Ce qui interroge.
Il y a 70 ans, jour pour jour, les vingt-cinq résistants du groupe
Manouchian étaient fusillés par les nazis dans la clairière du
Mont-Valérien. Ce matin, en présence du président de la République,
François Hollande et d'une délégation gouvernementale, la France leur
rendait hommage.
La cérémonie commence dans la clairière du Mont-Valérien, là où, le 21
février 1944, étaient fusillés les résistants du groupe de Missak
Manouchian. C'est une petite clairière encaissée à l'ombre de grands
arbres avec pour seul horizon le ciel. Tout au long de ces années
sombres de l'occupation, 1010 résistants tombaient sous les balles de
l'occupant. Ce 21 février 2014, un doux soleil d'hiver baigne la
cérémonie. Comme en 1944....le > dira un peu
plus tard François Hollande dans son allocution. Là, après que le
président ait déposé une gerbe, deux jeunes collégiens, liront tour à
tour les dernières lettres de Missak Manouchian et son compagnon
Georges Cloarec avant que ne résonnent la Marseillaise et le chant des
partisans.
Puis François Hollande rend hommage au groupe Manouchian dont les
membres, >. Ils se sont >.
Evoquant portés par les résistants. Il souligne >. Pas sûr qu'évoquer ainsi
l'esprit de résistance permettra de réconcilier un tant soit peu les
français avec sa politique.
Pas de résistant communiste au Panthéon
Autre moment fort de cette cérémonie, la confirmation de sa décision
de faire entrer au Panthéon, >. Geneviève Anthonioz-De Gaulle, résistante, déportée à
Ravensbrück qui >. Pierre Brossolette, journaliste, intellectuel, défenseur > qui participa à la résistance et, pris par les
allemands, préféra se donner la mort que de parler. Jean Zay, ministre
de l'éducation du Front populaire, .
Le PCF ayant été >. De nombreuses voix
Hollande honore le groupe Manouchian et la résistance
Ce vendredi, au Mont-Valérien, le président de la République rend
hommage au groupe Manouchian et confirme l'entrée au Panthéon de
résistants dont aucun communiste. Ce qui interroge.
Il y a 70 ans, jour pour jour, les vingt-cinq résistants du groupe
Manouchian étaient fusillés par les nazis dans la clairière du
Mont-Valérien. Ce matin, en présence du président de la République,
François Hollande et d'une délégation gouvernementale, la France leur
rendait hommage.
La cérémonie commence dans la clairière du Mont-Valérien, là où, le 21
février 1944, étaient fusillés les résistants du groupe de Missak
Manouchian. C'est une petite clairière encaissée à l'ombre de grands
arbres avec pour seul horizon le ciel. Tout au long de ces années
sombres de l'occupation, 1010 résistants tombaient sous les balles de
l'occupant. Ce 21 février 2014, un doux soleil d'hiver baigne la
cérémonie. Comme en 1944....le > dira un peu
plus tard François Hollande dans son allocution. Là, après que le
président ait déposé une gerbe, deux jeunes collégiens, liront tour à
tour les dernières lettres de Missak Manouchian et son compagnon
Georges Cloarec avant que ne résonnent la Marseillaise et le chant des
partisans.
Puis François Hollande rend hommage au groupe Manouchian dont les
membres, >. Ils se sont >.
Evoquant portés par les résistants. Il souligne >. Pas sûr qu'évoquer ainsi
l'esprit de résistance permettra de réconcilier un tant soit peu les
français avec sa politique.
Pas de résistant communiste au Panthéon
Autre moment fort de cette cérémonie, la confirmation de sa décision
de faire entrer au Panthéon, >. Geneviève Anthonioz-De Gaulle, résistante, déportée à
Ravensbrück qui >. Pierre Brossolette, journaliste, intellectuel, défenseur > qui participa à la résistance et, pris par les
allemands, préféra se donner la mort que de parler. Jean Zay, ministre
de l'éducation du Front populaire, .
Le PCF ayant été >. De nombreuses voix