REVUE DE PRESSE
>
Ayant épuisé tous les recours pour tenter d'obtenir sa régularisation,
la famille d'Allen et Angelina se trouve dans une impasse. Ils font
partie des >, un appartement stable, >. Une procédure normale qui vise à >, les primo-arrivants devant eux aussi avoir accès à
un hébergement, en cada notamment. Et les 55 places en centre
d'accueil chalonnaises sont vite saturées.
Des déboutés qui restent sur le territoire Toujours est-il que le RESF
- qui reste vigilant sur les conditions de relogement de la famille P.
- souhaite se servir de cet exemple pour attirer l'attention de
l'opinion et des pouvoirs publics sur le sort réservé aux déboutés du
droit d'asile dans notre pays. > Sans
droits, ne pouvant travailler, les déboutés attendent, vivant de
l'aide sociale à l'enfance avec l'aide des Restos du coeur, du secours
populaire - et parfois de petits boulots au noir-, effectuant de temps
à autre des demandes de régularisation auprès des préfets. >, commente le RESF. Car la plupart ne sont
pas renvoyés dans leur pays, même s'il est qualifié de > : >, analyse François Portefaix. Plus généralement, le RESF remet
en cause les pratiques de la cour nationale du droit d'asile,
institution tributaire de la législation :
>
Ayant épuisé tous les recours pour tenter d'obtenir sa régularisation,
la famille d'Allen et Angelina se trouve dans une impasse. Ils font
partie des >, un appartement stable, >. Une procédure normale qui vise à >, les primo-arrivants devant eux aussi avoir accès à
un hébergement, en cada notamment. Et les 55 places en centre
d'accueil chalonnaises sont vite saturées.
Des déboutés qui restent sur le territoire Toujours est-il que le RESF
- qui reste vigilant sur les conditions de relogement de la famille P.
- souhaite se servir de cet exemple pour attirer l'attention de
l'opinion et des pouvoirs publics sur le sort réservé aux déboutés du
droit d'asile dans notre pays. > Sans
droits, ne pouvant travailler, les déboutés attendent, vivant de
l'aide sociale à l'enfance avec l'aide des Restos du coeur, du secours
populaire - et parfois de petits boulots au noir-, effectuant de temps
à autre des demandes de régularisation auprès des préfets. >, commente le RESF. Car la plupart ne sont
pas renvoyés dans leur pays, même s'il est qualifié de > : >, analyse François Portefaix. Plus généralement, le RESF remet
en cause les pratiques de la cour nationale du droit d'asile,
institution tributaire de la législation :