CENTRE PRESSE, France
11 janvier 2014 samedi
Soutien aux réfugiés : une aubade arménienne sous les fenêtres de la préfecture
Hier, à 18 heures, alors que les VIP du département se rendaient à la
traditionnelle cérémonie des v?ux de la préfète, le collectif d'aide
aux réfugiés et le comité de soutien à la famille Pétrosyan se sont
rassemblés dans la cour de la préfecture. En soutien aux deux familles
arméniennes menacées d'expulsion et pour lesquelles est demandée la
régularisation, une soixantaine de personnes, bardés de panneaux «
Nous sommes tous des Arméniens », a entonné des chants arméniens.
Parmi les deux familles, Arman, Lida Petrosyan et leurs deux enfants,
arrivés en Aveyron il y a 4 ans et intégrés depuis, les enfants
scolarisés, les parents bénévoles au Secours populaire, le père assuré
d'une promesse de CDI aux abattoirs. Le 8 janvier, il leur a été
signifié une notification d'expulsion. Enceinte, la mère a été
assignée à résidence ; toujours sous le coup d'une expulsion, le père
et les enfants ont été mis à l'abri par le collectif. Une procédure en
appel a été déposée au tribunal d'administratif de Bordeaux. Le
jugement sera rendu le 22 janvier.
11 janvier 2014 samedi
Soutien aux réfugiés : une aubade arménienne sous les fenêtres de la préfecture
Hier, à 18 heures, alors que les VIP du département se rendaient à la
traditionnelle cérémonie des v?ux de la préfète, le collectif d'aide
aux réfugiés et le comité de soutien à la famille Pétrosyan se sont
rassemblés dans la cour de la préfecture. En soutien aux deux familles
arméniennes menacées d'expulsion et pour lesquelles est demandée la
régularisation, une soixantaine de personnes, bardés de panneaux «
Nous sommes tous des Arméniens », a entonné des chants arméniens.
Parmi les deux familles, Arman, Lida Petrosyan et leurs deux enfants,
arrivés en Aveyron il y a 4 ans et intégrés depuis, les enfants
scolarisés, les parents bénévoles au Secours populaire, le père assuré
d'une promesse de CDI aux abattoirs. Le 8 janvier, il leur a été
signifié une notification d'expulsion. Enceinte, la mère a été
assignée à résidence ; toujours sous le coup d'une expulsion, le père
et les enfants ont été mis à l'abri par le collectif. Une procédure en
appel a été déposée au tribunal d'administratif de Bordeaux. Le
jugement sera rendu le 22 janvier.