ARMENIE
Le porte-parole du RPA a décrit Mikoyan comme une figure historique mondiale
Le porte-parole du Parti républicain d'Arménie (RPA) Eduard
Sharmazanov a décrit Anastas Mikoyan, un dirigeant soviétique
controversé d'origine arménienne, comme une >, lorsqu'on lui a demandé de commenter l'intention des
autorités d'Erevan d'ériger un monument à l'un des plus proches
collaborateurs de Joseph Staline.
La décision prise par le Conseil des Aînés d'Erevan le 30 Avril pour
rendre hommage à la mémoire de Mikoyan (1895-1978), un homme d'État
soviétique de longue date qui, selon de nombreux historiens, a joué un
rôle dans la Grande Purge de Staline, a suscité une controverse en
Arménie car un certain nombre de membres de premier plan de la société
civile ont exprimé leur point de vue que la personne qui a
personnellement supervisé les arrestations massives et des exécutions
de milliers de personnes en Arménie soviétique ne pouvait pas avoir
une statue dans la capitale arménienne.
Le parti d'opposition la Fédération révolutionnaire arménienne (FRA) a
ajouté sa voix aux condamnations plus tôt cette semaine, décrivant la
décision du Conseil des Sages comme un "blasphème" et exigeant
qu'elledevrait être reconsidérée.
Répondant à une question des médias après la réunion de l'organe
exécutif du RPA jeudi soir, Sharmazanov, historien de formation, a
cité l'éminent chef politique et militaire français Charles de Gaulle
appelant Mikoyan une
Le porte-parole du RPA a décrit Mikoyan comme une figure historique mondiale
Le porte-parole du Parti républicain d'Arménie (RPA) Eduard
Sharmazanov a décrit Anastas Mikoyan, un dirigeant soviétique
controversé d'origine arménienne, comme une >, lorsqu'on lui a demandé de commenter l'intention des
autorités d'Erevan d'ériger un monument à l'un des plus proches
collaborateurs de Joseph Staline.
La décision prise par le Conseil des Aînés d'Erevan le 30 Avril pour
rendre hommage à la mémoire de Mikoyan (1895-1978), un homme d'État
soviétique de longue date qui, selon de nombreux historiens, a joué un
rôle dans la Grande Purge de Staline, a suscité une controverse en
Arménie car un certain nombre de membres de premier plan de la société
civile ont exprimé leur point de vue que la personne qui a
personnellement supervisé les arrestations massives et des exécutions
de milliers de personnes en Arménie soviétique ne pouvait pas avoir
une statue dans la capitale arménienne.
Le parti d'opposition la Fédération révolutionnaire arménienne (FRA) a
ajouté sa voix aux condamnations plus tôt cette semaine, décrivant la
décision du Conseil des Sages comme un "blasphème" et exigeant
qu'elledevrait être reconsidérée.
Répondant à une question des médias après la réunion de l'organe
exécutif du RPA jeudi soir, Sharmazanov, historien de formation, a
cité l'éminent chef politique et militaire français Charles de Gaulle
appelant Mikoyan une