REVUE DE PRESSE
Bakou attend l'Europe... et David Douillet
Le choix pouvait sembler risqué. Il devrait pourtant s'avérer payant.
A Bakou, capitale de l'Azerbaïdjan, les Jeux Européens ont sans doute
trouvé le meilleur terrain possible pour sortir de terre et se faire
une place au soleil. La ville a célébré mercredi 11 juin, par un
immense feu d'artifice, la date symbolique de J - 365 jours avant
l'événement. Et force est de constater que tous les indicateurs y sont
au vert.
Jeudi 12 juin 2014, un nouveau partenaire économique est venu
rejoindre l'aventure. Et pas le moindre. Le pétrolier BP a signé à la
mi-journée un contrat de sponsoring avec les Jeux Européens 2015. Il
rejoint Procter & Gamble comme partenaire officiel d'un événement qui
compte déjà également un chronométreur officiel, Tissot, et une agence
de billetterie, Tickethour. Une liste qui pourrait prochainement
s'allonger encore. Azad Rahimov, le ministre de la Jeunesse et des
Sports d'Azerbaïdjan, l'a assuré après avoir paraphé le contrat avec
les représentants de BP : >
Côté budget, pas la moindre angoisse, d'autant que l'essentiel des
dépenses est assurée par le fonds publics. Les travaux, de leur côté,
avancent à bonne allure. >, se
félicite Patrick Hickey, le président irlandais de l'Association des
comités olympiques européens (ACNOE). Les organisateurs azéris ont
pourtant vu grand, en faisant sortir de terre la plupart des
installations sportives d'un événement passé en quelques mois de 12 à
19 disciplines sportives. >, pointe Azad Rahimov.
Seule ombre au tableau : l'épreuve de triathlon. Le ministre azéri
n'en fait pas mystère : la qualité de l'eau de la mer Caspienne, où
doit se dérouler la portion de natation d'une compétition dont les
vainqueurs décrocheront un billet pour les Jeux de Rio, n'est pas
encore aux standards exigés par la Fédération internationale de
triathlon (ITU). Un contre-temps qui devrait bientôt n'être qu'un
mauvais souvenir. Pour preuve la diffusion
des images des festivités marquant J - 365, mercredi 11 juin, par
plusieurs chaines de télévision non sportives.
La présence à leurs côtés de partenaires comme BP et Procter & Gamble
devrait accélérer les choses. Selon Simon Clegg, le patron du comité
d'organisation de Bakou 2015, les contrats signés avec ces sponsors
incluent un volet promotion de l'événement, en Azerbaïdjan et à
l'échelle internationale. Autre initiative : la désignation
d'ambassadeurs de renom pour les Jeux Européens. Patrick Hickey en a
annoncé ce jeudi 12 juin le premier : le judoka français David
Douillet, champion olympique des poids lourds en 1996 et 2000. La
liste devrait rapidement s'allonger.
A une année tout juste des trois coups, l'Azerbaïdjan compte les jours
avec un mélange d'excitation et d'impatience. Une réunion des chefs de
mission a débuté mardi 10 juin à Bakou, pour trois journées de visites
et d'inspection.
From: Baghdasarian
Bakou attend l'Europe... et David Douillet
Le choix pouvait sembler risqué. Il devrait pourtant s'avérer payant.
A Bakou, capitale de l'Azerbaïdjan, les Jeux Européens ont sans doute
trouvé le meilleur terrain possible pour sortir de terre et se faire
une place au soleil. La ville a célébré mercredi 11 juin, par un
immense feu d'artifice, la date symbolique de J - 365 jours avant
l'événement. Et force est de constater que tous les indicateurs y sont
au vert.
Jeudi 12 juin 2014, un nouveau partenaire économique est venu
rejoindre l'aventure. Et pas le moindre. Le pétrolier BP a signé à la
mi-journée un contrat de sponsoring avec les Jeux Européens 2015. Il
rejoint Procter & Gamble comme partenaire officiel d'un événement qui
compte déjà également un chronométreur officiel, Tissot, et une agence
de billetterie, Tickethour. Une liste qui pourrait prochainement
s'allonger encore. Azad Rahimov, le ministre de la Jeunesse et des
Sports d'Azerbaïdjan, l'a assuré après avoir paraphé le contrat avec
les représentants de BP : >
Côté budget, pas la moindre angoisse, d'autant que l'essentiel des
dépenses est assurée par le fonds publics. Les travaux, de leur côté,
avancent à bonne allure. >, se
félicite Patrick Hickey, le président irlandais de l'Association des
comités olympiques européens (ACNOE). Les organisateurs azéris ont
pourtant vu grand, en faisant sortir de terre la plupart des
installations sportives d'un événement passé en quelques mois de 12 à
19 disciplines sportives. >, pointe Azad Rahimov.
Seule ombre au tableau : l'épreuve de triathlon. Le ministre azéri
n'en fait pas mystère : la qualité de l'eau de la mer Caspienne, où
doit se dérouler la portion de natation d'une compétition dont les
vainqueurs décrocheront un billet pour les Jeux de Rio, n'est pas
encore aux standards exigés par la Fédération internationale de
triathlon (ITU). Un contre-temps qui devrait bientôt n'être qu'un
mauvais souvenir. Pour preuve la diffusion
des images des festivités marquant J - 365, mercredi 11 juin, par
plusieurs chaines de télévision non sportives.
La présence à leurs côtés de partenaires comme BP et Procter & Gamble
devrait accélérer les choses. Selon Simon Clegg, le patron du comité
d'organisation de Bakou 2015, les contrats signés avec ces sponsors
incluent un volet promotion de l'événement, en Azerbaïdjan et à
l'échelle internationale. Autre initiative : la désignation
d'ambassadeurs de renom pour les Jeux Européens. Patrick Hickey en a
annoncé ce jeudi 12 juin le premier : le judoka français David
Douillet, champion olympique des poids lourds en 1996 et 2000. La
liste devrait rapidement s'allonger.
A une année tout juste des trois coups, l'Azerbaïdjan compte les jours
avec un mélange d'excitation et d'impatience. Une réunion des chefs de
mission a débuté mardi 10 juin à Bakou, pour trois journées de visites
et d'inspection.
From: Baghdasarian