GRÈCE Visite officielle du président allemand
Je demande pardon
>, insiste-t-il , a tenu à souligner
le président allemand. Pourtant Carolos Papoulias a, dès sa première
rencontre avec son homologue allemand, tenu à mettre les pendules à
l'heure : >, a-t-il martelé, >
L'Allemagne oppose à cette demande une fin de non-recevoir depuis des
années. Position qu'elle a réitérée la semaine dernière à l'intention
de la communauté juive de Thessalonique, qui a également déposé une
demande de réparations distincte de l'État grec. L'affaire est
désormais devant le tribunal international des droits de l'homme. Le
président allemand a répondu qu'il >. Pour l'ensemble des médias grecs, cette
petite phrase marque une différenciation du président allemand de son
gouvernement qui va de pair avec le ton de sa visite au village
martyr.
Emprunt forcé de 160 milliards d'euros
La question des réparations de guerre est un vieux débat qui a
ressurgi avec la crise. Il s'agit essentiellement de revendication de
réparations financières réclamées à l'Allemagne en compensation des
crimes commis lors de l'occupation du pays par les nazis (1941-1944)
et surtout d'un emprunt forcé à la Grèce contracté en 1942, montant
actuellement estimé à plus de 160 milliards d'euros. Ioannis Siafakas
retraite de Liguiades ne croit pas qu'un jour Berlin paiera, mais >
ANGÉLIQUE KOUROUNIS
DNA
8 mars 2014
dimanche 9 mars 2014,
Stéphane (c)armenews.com
From: Baghdasarian
Je demande pardon
>, insiste-t-il , a tenu à souligner
le président allemand. Pourtant Carolos Papoulias a, dès sa première
rencontre avec son homologue allemand, tenu à mettre les pendules à
l'heure : >, a-t-il martelé, >
L'Allemagne oppose à cette demande une fin de non-recevoir depuis des
années. Position qu'elle a réitérée la semaine dernière à l'intention
de la communauté juive de Thessalonique, qui a également déposé une
demande de réparations distincte de l'État grec. L'affaire est
désormais devant le tribunal international des droits de l'homme. Le
président allemand a répondu qu'il >. Pour l'ensemble des médias grecs, cette
petite phrase marque une différenciation du président allemand de son
gouvernement qui va de pair avec le ton de sa visite au village
martyr.
Emprunt forcé de 160 milliards d'euros
La question des réparations de guerre est un vieux débat qui a
ressurgi avec la crise. Il s'agit essentiellement de revendication de
réparations financières réclamées à l'Allemagne en compensation des
crimes commis lors de l'occupation du pays par les nazis (1941-1944)
et surtout d'un emprunt forcé à la Grèce contracté en 1942, montant
actuellement estimé à plus de 160 milliards d'euros. Ioannis Siafakas
retraite de Liguiades ne croit pas qu'un jour Berlin paiera, mais >
ANGÉLIQUE KOUROUNIS
DNA
8 mars 2014
dimanche 9 mars 2014,
Stéphane (c)armenews.com
From: Baghdasarian