LE PRESIDENT TURC ABDULLAH GUL CONTREDIT ERDOGAN
TURQUIE
Le president turc Abdullah Gul a rejete la thèse defendue par
le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan selon laquelle la vaste
affaire de corruption revelee en decembre dernier, qui a ebranle le
gouvernement, est le fruit d'un complot ourdi a l'etranger.
"Je n'accepte pas les allegations visant des puissances etrangères
et je ne pense pas qu'elles soient justifiees (...) Je ne crois pas
a ces theories complotistes selon lesquelles des gens chercheraient
a detruire la Turquie", a dit le chef de l'Etat a des journalistes
lors d'une visite au Danemark, rapporte le journal Hurriyet.
"Bien sûr, la Turquie a depuis longtemps des adversaires dans le
monde. Certains groupes ont salue nos realisations depuis dix ans
(...) Maintenant qu'ils nous critiquent, quel est le problème ? Ce
genre de declarations, c'est bon pour les pays du tiers monde",
a ajoute Abdullah Gul.
"L'atmosphère politique actuelle n'est satisfaisante pour personne.
Elle ne me rejouit pas. Je suis a la fois afflige et trouble par ce
que nous traversons."
Recep Tayyip Erdogan accuse son ancien allie Fethullah Gulen, un
predicateur exile aux Etats-Unis et devenu un rival, d'avoir mis
en place grâce a ses reseaux dans la justice et la police un "Etat
parallèle" en Turquie afin de le renverser, notamment en fabriquant
des accusations de corruption
mardi 25 mars 2014, Stephane (c)armenews.com
TURQUIE
Le president turc Abdullah Gul a rejete la thèse defendue par
le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan selon laquelle la vaste
affaire de corruption revelee en decembre dernier, qui a ebranle le
gouvernement, est le fruit d'un complot ourdi a l'etranger.
"Je n'accepte pas les allegations visant des puissances etrangères
et je ne pense pas qu'elles soient justifiees (...) Je ne crois pas
a ces theories complotistes selon lesquelles des gens chercheraient
a detruire la Turquie", a dit le chef de l'Etat a des journalistes
lors d'une visite au Danemark, rapporte le journal Hurriyet.
"Bien sûr, la Turquie a depuis longtemps des adversaires dans le
monde. Certains groupes ont salue nos realisations depuis dix ans
(...) Maintenant qu'ils nous critiquent, quel est le problème ? Ce
genre de declarations, c'est bon pour les pays du tiers monde",
a ajoute Abdullah Gul.
"L'atmosphère politique actuelle n'est satisfaisante pour personne.
Elle ne me rejouit pas. Je suis a la fois afflige et trouble par ce
que nous traversons."
Recep Tayyip Erdogan accuse son ancien allie Fethullah Gulen, un
predicateur exile aux Etats-Unis et devenu un rival, d'avoir mis
en place grâce a ses reseaux dans la justice et la police un "Etat
parallèle" en Turquie afin de le renverser, notamment en fabriquant
des accusations de corruption
mardi 25 mars 2014, Stephane (c)armenews.com