AZERBAIDJAN
Un parti d'opposition affirme que le gouvernement est derrière
l'explosion de son QG
Un principal parti d'opposition en Azerbaïdjan a accusé le
gouvernement d'être derrière l'explosion qui a détruit son siège le 3
Mars. Les pompiers disent que cela été causé par des bonbonnes de gaz
stockés dans le sous-sol, bien que d'autres résidents nient que ce fut
le cas. Les autorités ont commencé à démolir le btiment considérant
qu'il est désormais dangereux.
L'explosion s'est produite à quatre heures du matin, dans la capitale
Bakou, où le Front populaire d'Azerbaïdjan avait ses bureaux qui
étaient en grande partie déserts. Il a détruit tout un rez de
chaussée.
> a déclaré le porte-parole du
parti Natiq Adilov à l'IWPR. >.
Au cours de la semaine précédente, la police a arrêté cinq militants
azerbaïdjanais du Front populaire, y compris le chef du bureau, pour
des raisons diverses. > a demandé Adilov.
Jusqu'en 2006, le Front populaire avait son siège dans le centre de
Bakou, mais les autorités de la ville ont fait condamné le btiment,
qui a été démoli, reconstruit et remis au bureau national d'audit.
Le parti d'opposition est resté sans-abri jusqu'en octobre de l'année
dernière, malgré des tentatives répétées pour louer un bureau.
Adilov rappelle que chaque fois que le parti a approché quelqu'un pour
louer un espace de bureau, >.
> a-t-il dit. Les deux membres du parti de service le matin du 3 Mars
- Nuru Nuruzade et Ruslan Nasirli - ont dit avoir entendu trois
explosions, qui ont été suivies par un incendie. Quand un reporter de
l'IWPR est arrivé sur les lieux plus tard, il y avait deux bouteilles
de gaz à l'extérieur du btiment. L'une d'elle était intacte et en bon
état, l'autre avait éclaté, mais les fragments étaient sales et elle
n'avait clairement pas explosé récemment.
Samir Muradov, qui loue le sous-sol, a nié qu'il ait jamais gardé des
bonbonnes de gaz. Le propriétaire d'un magasin voisin, qui ne voulait
pas être identifié, a également nié avoir utilisé des bonbonnes de
gaz, et dit que celles à l'extérieur avaient juste été mises là.
Siyavouch Novruzov, un membre du parlement du parti Yeni Azerbaïdjan,
le parti du gouvernement, a nié que l'explosion aurait pu être autre
chose qu'un accident. Il a dit à l'agence de presse Trend que le Front
populaire a été délibérément répandu des mensonges.
Le lendemain de l'explosion, Shahmar Ibadov, chef du gouvernement
local adjoint pour le district de Narimanov à Bakou, est arrivé au
siège du Front populaire et a dit aux militants du parti de partir
parce que le btiment n'était plus sûr. Ils ont refusé d'obéir malgré
des heures de négociations.
Elkhan Asadov, chef adjoint du département du ministère des Situations
d'urgence pour la sécurité des btiments, a déclaré aux journalistes
sur la scène que les locaux étaient dangereux et tout le monde devait
partir immédiatement.
Vers le soir, les travailleurs ont commencé à démolir l'ensemble du btiment.
Son propriétaire, Azer Askerov, qui passe le plus clair de son temps
en Turquie, est arrivé juste à temps pour le voir descendre. Il a
déclaré aux journalistes qu'il avait reçu des menaces parce qu'il a
loué l'espace au Front populaire. > a déclaré
Askerov qui a remis aux journalistes un enregistrement dans lequel la
voix d'un homme dit, >.
Une fois que le parti obtient une réparation il pourra rechercher de
nouveaux locaux, il pourrait même approcher son ancienne propriétaire,
Azer Askerov.
> a-t-il dit.
Un parti d'opposition affirme que le gouvernement est derrière
l'explosion de son QG
Un principal parti d'opposition en Azerbaïdjan a accusé le
gouvernement d'être derrière l'explosion qui a détruit son siège le 3
Mars. Les pompiers disent que cela été causé par des bonbonnes de gaz
stockés dans le sous-sol, bien que d'autres résidents nient que ce fut
le cas. Les autorités ont commencé à démolir le btiment considérant
qu'il est désormais dangereux.
L'explosion s'est produite à quatre heures du matin, dans la capitale
Bakou, où le Front populaire d'Azerbaïdjan avait ses bureaux qui
étaient en grande partie déserts. Il a détruit tout un rez de
chaussée.
> a déclaré le porte-parole du
parti Natiq Adilov à l'IWPR. >.
Au cours de la semaine précédente, la police a arrêté cinq militants
azerbaïdjanais du Front populaire, y compris le chef du bureau, pour
des raisons diverses. > a demandé Adilov.
Jusqu'en 2006, le Front populaire avait son siège dans le centre de
Bakou, mais les autorités de la ville ont fait condamné le btiment,
qui a été démoli, reconstruit et remis au bureau national d'audit.
Le parti d'opposition est resté sans-abri jusqu'en octobre de l'année
dernière, malgré des tentatives répétées pour louer un bureau.
Adilov rappelle que chaque fois que le parti a approché quelqu'un pour
louer un espace de bureau, >.
> a-t-il dit. Les deux membres du parti de service le matin du 3 Mars
- Nuru Nuruzade et Ruslan Nasirli - ont dit avoir entendu trois
explosions, qui ont été suivies par un incendie. Quand un reporter de
l'IWPR est arrivé sur les lieux plus tard, il y avait deux bouteilles
de gaz à l'extérieur du btiment. L'une d'elle était intacte et en bon
état, l'autre avait éclaté, mais les fragments étaient sales et elle
n'avait clairement pas explosé récemment.
Samir Muradov, qui loue le sous-sol, a nié qu'il ait jamais gardé des
bonbonnes de gaz. Le propriétaire d'un magasin voisin, qui ne voulait
pas être identifié, a également nié avoir utilisé des bonbonnes de
gaz, et dit que celles à l'extérieur avaient juste été mises là.
Siyavouch Novruzov, un membre du parlement du parti Yeni Azerbaïdjan,
le parti du gouvernement, a nié que l'explosion aurait pu être autre
chose qu'un accident. Il a dit à l'agence de presse Trend que le Front
populaire a été délibérément répandu des mensonges.
Le lendemain de l'explosion, Shahmar Ibadov, chef du gouvernement
local adjoint pour le district de Narimanov à Bakou, est arrivé au
siège du Front populaire et a dit aux militants du parti de partir
parce que le btiment n'était plus sûr. Ils ont refusé d'obéir malgré
des heures de négociations.
Elkhan Asadov, chef adjoint du département du ministère des Situations
d'urgence pour la sécurité des btiments, a déclaré aux journalistes
sur la scène que les locaux étaient dangereux et tout le monde devait
partir immédiatement.
Vers le soir, les travailleurs ont commencé à démolir l'ensemble du btiment.
Son propriétaire, Azer Askerov, qui passe le plus clair de son temps
en Turquie, est arrivé juste à temps pour le voir descendre. Il a
déclaré aux journalistes qu'il avait reçu des menaces parce qu'il a
loué l'espace au Front populaire. > a déclaré
Askerov qui a remis aux journalistes un enregistrement dans lequel la
voix d'un homme dit, >.
Une fois que le parti obtient une réparation il pourra rechercher de
nouveaux locaux, il pourrait même approcher son ancienne propriétaire,
Azer Askerov.
> a-t-il dit.