SERGE SARKISSIAN DANS L'INTERNATIONAL NEW YORK TIMES : LA RECONNAISSANCE DES GENOCIDES PASSES EST ESSENTIELLE POUR PREVENIR DE FUTURS GENOCIDES
USA
"Le genocide armenien nous rappelle les risques de ne pas tirer les
lecons de l'histoire, les dangers de la negation du genocide, et les
consequences negatives a long terme de permettre que des crimes passent
inapercus et impunis" a ecrit le president armenien Serge Sarkissian
dans un article dans le journal International New York Times.
>,
poursuit-il dans un article intitule >,
souligne Serge Sarkissian.
Dans l'article le leader armenien aborde egalement les derniers
efforts pour arriver a la normalisation avec la Turquie.
"L'independance de l'Armenie renouvele a ete l'occasion de commencer
une nouvelle ère dans les relations avec la Turquie. La position de
l'Armenie se reflète dans le principe de l'etablissement de relations
depuis des decennies "sans conditions prealables". C'est le principe
de fond pour demarrer les negociations avec la Turquie en 2008,
et pour les protocoles signes en 2009. L'idee etait d'eviter tout
obstacle et de creer un environnement positif pour le developpement
des relations bilaterales, la comprehension et la reconciliation entre
les deux societes après l'etablissement de relations diplomatiques
et l'ouverture des frontières.
"Malheureusement, la Turquie a recule face a cet accord et a
refuse d'etablir des relations diplomatiques, garde sa frontière
avec l'Armenie fermee, maintient un blocus economique illegal, et
nie la verite historique des crimes du passe et les injustices. La
verite historique a part, aussi longtemps que la dernière section du
rideau de fer - la frontière turco-armenienne - restera fermee, cela
va entraver tout developpement sain et l'integration regionale dans
la region du Caucase, et injecter un element constant d'instabilite
dans une strategique et sensible partie du monde.
USA
"Le genocide armenien nous rappelle les risques de ne pas tirer les
lecons de l'histoire, les dangers de la negation du genocide, et les
consequences negatives a long terme de permettre que des crimes passent
inapercus et impunis" a ecrit le president armenien Serge Sarkissian
dans un article dans le journal International New York Times.
>,
poursuit-il dans un article intitule >,
souligne Serge Sarkissian.
Dans l'article le leader armenien aborde egalement les derniers
efforts pour arriver a la normalisation avec la Turquie.
"L'independance de l'Armenie renouvele a ete l'occasion de commencer
une nouvelle ère dans les relations avec la Turquie. La position de
l'Armenie se reflète dans le principe de l'etablissement de relations
depuis des decennies "sans conditions prealables". C'est le principe
de fond pour demarrer les negociations avec la Turquie en 2008,
et pour les protocoles signes en 2009. L'idee etait d'eviter tout
obstacle et de creer un environnement positif pour le developpement
des relations bilaterales, la comprehension et la reconciliation entre
les deux societes après l'etablissement de relations diplomatiques
et l'ouverture des frontières.
"Malheureusement, la Turquie a recule face a cet accord et a
refuse d'etablir des relations diplomatiques, garde sa frontière
avec l'Armenie fermee, maintient un blocus economique illegal, et
nie la verite historique des crimes du passe et les injustices. La
verite historique a part, aussi longtemps que la dernière section du
rideau de fer - la frontière turco-armenienne - restera fermee, cela
va entraver tout developpement sain et l'integration regionale dans
la region du Caucase, et injecter un element constant d'instabilite
dans une strategique et sensible partie du monde.