LES MEDIAS ARMENIENS LUTTENT POUR UN DROIT A LA CONFIDENTIALITE
ARMENIE
Les medias armeniens sont entre en resistance après que la cour
d'appel du pays ait statue contre le droit a la protection des sources
confidentielles.
La decision du 22 septembre est consideree comme un revers majeur
pour la liberte des medias qui pourrait rendre impossible pour les
journalistes de donner une garantie absolue de confidentialite quand
ils interviewent quelqu'un. L'appel a ete interjete par le journal
Hraparak et le site Web ilur.am après une decision du 26 Juin d'un
tribunal de première instance leur demander de reveler la source des
rapports qu'ils ont publies en mai. Leurs histoires ont allegue que le
chef de la police de la region du Shirak, avait agresse deux hommes,
le lutteur champion olympique Artur Alexanyan et son frère Rafael.
Le journal et le site Web ont ete entraines devant les tribunaux par
le Service special d'investigation (SIS), un organisme gouvernemental
qui examine les allegations de violations du secteur public. Le SIS
a porte l'affaire au motif qu'il n'avait pas de preuve que l'incident
se soit reellement passe, et il a cite une clause juridique permettant
aux tribunaux de forcer les journalistes a reveler leurs sources dans
des affaires impliquant un crime grave.
Après la decision de Juin, Susan Simonian, l'auteur de l'article
Hraparak, a declare a l'IWPR que la decision etait une > a declare
Vasak Darbinyan, du Comite pour la defense de la liberte d'expression
a l'IWPR. a ajoute Sayadyan.
Roza Hovhannisyan, qui ecrit dans le journal Lragir.am, s'inquiète
de l'impact que l'affaire aura sur le journalisme en Armenie.
>
a-t-elle declare a l'IWPR.
Si cela se produit, Gegham Vardanyan du Centre des Initiatives des
Medias estime que les sources vont rapidement se tarir.
> a-t-il
dit.
ARMENIE
Les medias armeniens sont entre en resistance après que la cour
d'appel du pays ait statue contre le droit a la protection des sources
confidentielles.
La decision du 22 septembre est consideree comme un revers majeur
pour la liberte des medias qui pourrait rendre impossible pour les
journalistes de donner une garantie absolue de confidentialite quand
ils interviewent quelqu'un. L'appel a ete interjete par le journal
Hraparak et le site Web ilur.am après une decision du 26 Juin d'un
tribunal de première instance leur demander de reveler la source des
rapports qu'ils ont publies en mai. Leurs histoires ont allegue que le
chef de la police de la region du Shirak, avait agresse deux hommes,
le lutteur champion olympique Artur Alexanyan et son frère Rafael.
Le journal et le site Web ont ete entraines devant les tribunaux par
le Service special d'investigation (SIS), un organisme gouvernemental
qui examine les allegations de violations du secteur public. Le SIS
a porte l'affaire au motif qu'il n'avait pas de preuve que l'incident
se soit reellement passe, et il a cite une clause juridique permettant
aux tribunaux de forcer les journalistes a reveler leurs sources dans
des affaires impliquant un crime grave.
Après la decision de Juin, Susan Simonian, l'auteur de l'article
Hraparak, a declare a l'IWPR que la decision etait une > a declare
Vasak Darbinyan, du Comite pour la defense de la liberte d'expression
a l'IWPR. a ajoute Sayadyan.
Roza Hovhannisyan, qui ecrit dans le journal Lragir.am, s'inquiète
de l'impact que l'affaire aura sur le journalisme en Armenie.
>
a-t-elle declare a l'IWPR.
Si cela se produit, Gegham Vardanyan du Centre des Initiatives des
Medias estime que les sources vont rapidement se tarir.
> a-t-il
dit.