LES VOISINS ET LES COALITIONS : L'ARMENIE FAIT PARTIE DE L'EQUATION DES SOLUTIONS RECHERCHEES POUR > LA REGION
ARMENIE
Les Armeniens ont suivi avec prudence les developpements en Turquie
la semaine dernière où le parlement a adopte une loi proposee par le
gouvernement permettant aux troupes du pays d'intervenir dans les
affaires des pays voisins et aux troupes etrangères d'utiliser le
territoire turc pour la lutte contre les organisations terroristes.
la Turquie, qui entretient des relations hostiles avec l'Armenie et
garde sa frontière avec son voisin oriental ferme, a ete accuse par
l'Armenie d'avoir une main dans un certain nombre de developpements
en Syrie, y compris l'attaque par des militants islamistes contre
la ville peuplee armenienne de Kessab en Mars et l'explosion d'une
eglise armenienne a Deir ez-Zor.
Pendant ce temps, l'adoption de la loi mentionnee en Turquie a ete
consideree par les experts internationaux comme un choix difficile pour
Ankara, qui a donc decide de rejoindre la communaute internationale
dirigee par les Etats-Unis qui a decrit l'Etat islamique de Syrie et
d'Irak (EI ) comme l'une des menaces qui pèsent sur le monde. Avant
la Turquie avait non seulement refuse de se joindre a la coalition,
mais aussi, selon les rapports, finance la fourniture d'armes a l'EI
et aussi ne pas laisser la coalition utiliser la base militaire de
l'OTAN qu'elle accueille a Incirlik.
Et maintenant, avec la coalition, la Turquie lutte contre les
islamistes. Le ministère des Affaires etrangères de la Syrie, qui
avait deja preconisees des frappes contre l'EI par la coalition
non seulement en Irak, mais aussi en Syrie, a accuse la Turquie
d'intervenir dans les conflits internes du pays. L'Iran a egalement
proteste contre les agissements turcs. Teheran estime que la Turquie
poursuivra ses interets en Irak et en Syrie et sera elle-meme derrière
certains developpements indesirables.
Le vice-president americain Joe Biden la semaine dernière a directement
accuse la Turquie de financer le terrorisme ce qui a pousse le
president turc Recep Tayyip Erdogan a exige des excuses. Des excuses
ont ete envoyees. Cependant, il est devenu evident qu'aux Etats-Unis
et dans le monde occidental en general, ils considèrent l'entree de
la Turquie dans la coalition non pas sans equivoque et qu'elle n'a
pas abandonne ses plans.
Des experts internationaux n'excluent pas qu' après la Syrie et l'Irak
des troubles pourraient se propager a la Turquie et l'Azerbaïdjan. La
presse mondiale accuse ces deux pays de soutenir les terroristes
islamiques, surtout après que l'Azerbaïdjan ait fait un rapprochement
sans precedent avec Moscou.
En Azerbaïdjan, ils accusent les Etats-Unis et l'Europe de partialite
et de servir les interets armeniens. A Bakou, les journaux ont
deja fait des hypothèses que certains pays peuvent soutenir les > de djihadistes vers la Turquie et l'Azerbaïdjan dans
le but de construire un nouvel alignement de l'ordre dans la region.
Maintenant, une region plus large que le Caucase est fermee en raison
du blocus de l'Armenie par la Turquie et l'Azerbaïdjan. Ce blocus
est un obstacle non seulement pour la survie et le developpement de
l'Armenie, mais aussi pour la construction de communications regionales
et des liens sans entraves. Il est evident que celui qui parvient a > la region deviendra son maître.
Ce n'est pas un hasard si une entrevue avec l'expert pro-Kremlin
Sergueï Markov est apparu dans les medias azerbaïdjanais affirmant que
les diplomates russes, armeniennes et azerbaïdjanaises sont en train de
negocier pour que le Karabagh cède sept districts de l'Azerbaïdjan
ARMENIE
Les Armeniens ont suivi avec prudence les developpements en Turquie
la semaine dernière où le parlement a adopte une loi proposee par le
gouvernement permettant aux troupes du pays d'intervenir dans les
affaires des pays voisins et aux troupes etrangères d'utiliser le
territoire turc pour la lutte contre les organisations terroristes.
la Turquie, qui entretient des relations hostiles avec l'Armenie et
garde sa frontière avec son voisin oriental ferme, a ete accuse par
l'Armenie d'avoir une main dans un certain nombre de developpements
en Syrie, y compris l'attaque par des militants islamistes contre
la ville peuplee armenienne de Kessab en Mars et l'explosion d'une
eglise armenienne a Deir ez-Zor.
Pendant ce temps, l'adoption de la loi mentionnee en Turquie a ete
consideree par les experts internationaux comme un choix difficile pour
Ankara, qui a donc decide de rejoindre la communaute internationale
dirigee par les Etats-Unis qui a decrit l'Etat islamique de Syrie et
d'Irak (EI ) comme l'une des menaces qui pèsent sur le monde. Avant
la Turquie avait non seulement refuse de se joindre a la coalition,
mais aussi, selon les rapports, finance la fourniture d'armes a l'EI
et aussi ne pas laisser la coalition utiliser la base militaire de
l'OTAN qu'elle accueille a Incirlik.
Et maintenant, avec la coalition, la Turquie lutte contre les
islamistes. Le ministère des Affaires etrangères de la Syrie, qui
avait deja preconisees des frappes contre l'EI par la coalition
non seulement en Irak, mais aussi en Syrie, a accuse la Turquie
d'intervenir dans les conflits internes du pays. L'Iran a egalement
proteste contre les agissements turcs. Teheran estime que la Turquie
poursuivra ses interets en Irak et en Syrie et sera elle-meme derrière
certains developpements indesirables.
Le vice-president americain Joe Biden la semaine dernière a directement
accuse la Turquie de financer le terrorisme ce qui a pousse le
president turc Recep Tayyip Erdogan a exige des excuses. Des excuses
ont ete envoyees. Cependant, il est devenu evident qu'aux Etats-Unis
et dans le monde occidental en general, ils considèrent l'entree de
la Turquie dans la coalition non pas sans equivoque et qu'elle n'a
pas abandonne ses plans.
Des experts internationaux n'excluent pas qu' après la Syrie et l'Irak
des troubles pourraient se propager a la Turquie et l'Azerbaïdjan. La
presse mondiale accuse ces deux pays de soutenir les terroristes
islamiques, surtout après que l'Azerbaïdjan ait fait un rapprochement
sans precedent avec Moscou.
En Azerbaïdjan, ils accusent les Etats-Unis et l'Europe de partialite
et de servir les interets armeniens. A Bakou, les journaux ont
deja fait des hypothèses que certains pays peuvent soutenir les > de djihadistes vers la Turquie et l'Azerbaïdjan dans
le but de construire un nouvel alignement de l'ordre dans la region.
Maintenant, une region plus large que le Caucase est fermee en raison
du blocus de l'Armenie par la Turquie et l'Azerbaïdjan. Ce blocus
est un obstacle non seulement pour la survie et le developpement de
l'Armenie, mais aussi pour la construction de communications regionales
et des liens sans entraves. Il est evident que celui qui parvient a > la region deviendra son maître.
Ce n'est pas un hasard si une entrevue avec l'expert pro-Kremlin
Sergueï Markov est apparu dans les medias azerbaïdjanais affirmant que
les diplomates russes, armeniennes et azerbaïdjanaises sont en train de
negocier pour que le Karabagh cède sept districts de l'Azerbaïdjan