MONS-EN-BAROEUL : JACQUELINE KASPARIAN PORTE L'HISTOIRE DE L'ARMENIE ET DE SES DOULEURS
REVUE DE PRESSE
Jacqueline Kasparian est nee en France où ses parents avaient trouve
refuge. Enfant, elle a rejoint l'Armenie sovietique. Retraitee, elle
est revenue dans son pays de naissance. Son histoire se confond avec
celle, dramatique, de l'Armenie occidentale, theâtre d'un genocide,
il y a exactement 100 ans.
>
L'histoire de Jacqueline debute a Bursa, au nord-ouest de l'Anatolie,
où ses grands-parents et son père residaient. Comme le plus grand
nombre des habitants de la ville, les Kasparian furent massacres. L'un
des fils, Arakel, parvint a s'enfuir. Après bien des aventures passant
par la Bulgarie, la Grèce et la Syrie, il rejoint la France en 1923,
a l'âge de 23 ans.
>
Le voici ouvrier a la regie Renault et habitant la banlieue
parisienne. Il y rencontre Arousiak, une autre miraculee du genocide.
De leur union, en 1930, naîtra Jacqueline Kasparian. >, temoigne-t-elle. La republique d'Armenie, Etat de la
nouvelle Union des republiques socialistes sovietiques (URSS), invitant
les Armeniens du monde entier a revenir au pays pour construire un
Etat nouveau, Arakel et sa famille, montent a bord de l'Armenia et
debarquent a Batum, port de la mer Noire, un beau jour de 1936.
Mais la deception du militant armenien est vive. Il est emprisonne en
tant >, un crime comme un
autre dans le delire stalinien. Au bout de quelques annees, libere,
il participe a la reconstruction d'Erevan.
Jacqueline va faire toute sa carrière dans cette ville. Elle sera,
pendant plus de quatre ans, journaliste a l'Agence telegraphique
de l'Union sovietique (Telegrafnoïe aguentstvo Sovietskogo Soïouza,
TASS).
REVUE DE PRESSE
Jacqueline Kasparian est nee en France où ses parents avaient trouve
refuge. Enfant, elle a rejoint l'Armenie sovietique. Retraitee, elle
est revenue dans son pays de naissance. Son histoire se confond avec
celle, dramatique, de l'Armenie occidentale, theâtre d'un genocide,
il y a exactement 100 ans.
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L'histoire de Jacqueline debute a Bursa, au nord-ouest de l'Anatolie,
où ses grands-parents et son père residaient. Comme le plus grand
nombre des habitants de la ville, les Kasparian furent massacres. L'un
des fils, Arakel, parvint a s'enfuir. Après bien des aventures passant
par la Bulgarie, la Grèce et la Syrie, il rejoint la France en 1923,
a l'âge de 23 ans.
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Le voici ouvrier a la regie Renault et habitant la banlieue
parisienne. Il y rencontre Arousiak, une autre miraculee du genocide.
De leur union, en 1930, naîtra Jacqueline Kasparian. >, temoigne-t-elle. La republique d'Armenie, Etat de la
nouvelle Union des republiques socialistes sovietiques (URSS), invitant
les Armeniens du monde entier a revenir au pays pour construire un
Etat nouveau, Arakel et sa famille, montent a bord de l'Armenia et
debarquent a Batum, port de la mer Noire, un beau jour de 1936.
Mais la deception du militant armenien est vive. Il est emprisonne en
tant >, un crime comme un
autre dans le delire stalinien. Au bout de quelques annees, libere,
il participe a la reconstruction d'Erevan.
Jacqueline va faire toute sa carrière dans cette ville. Elle sera,
pendant plus de quatre ans, journaliste a l'Agence telegraphique
de l'Union sovietique (Telegrafnoïe aguentstvo Sovietskogo Soïouza,
TASS).