ARMENIE
>
L'audience de l'affaire > devant la Grande
Chambre de la Cour européenne des droits de l'Homme dans laquelle
l'Arménie était impliquée en tant que tierce partie, fait la >
de la plupart des quotidiens. Ceux-ci soulignent que l'Etat turc, qui
avait lui-mĂȘme condamnĂ© naguĂšre le requĂ©rant Dogu Perinçek Ă de
lourdes peines pour >, avait dĂ©pĂȘchĂ© Ă Strasbourg une
délégation importante constituée d'hommes politiques, d'anciens
Ministres, de diplomates et de représentants d'ONG pour soutenir son
citoyen. Celui-ci a affirmé qu'il n'avait jamais dit > contre les Arméniens et qu'il admettait que des massacres des
Arméniens avaient lieu il y a cent ans, sans les considérer comme un
génocide. Le requérant a dit vouloir apparaßtre devant la Cour pour
défendre la liberté d'expression et >.
Selon Hayots Achkhar, le > du requérant a atteint son apogée
lorsqu'il a qualifié Talat pacha d'>. Les
quotidiens font l'éloge de l'équipe d'avocats qui défendait les
intĂ©rĂȘts de l'ArmĂ©nie devant la Cour, Ă savoir GuĂ©vorg Kostanian,
représentant du Gouvernement arménien au sein de la CEDH et procureur
général d'Arménie, ainsi que les avocats internationaux Goeffrey
Robertson et Amal Clooney. Ceux-ci se sont penchés sur des faits
indéniables du Génocide arménien, tout en indiquant > présentes dans le premier jugement de la Cour, celle-ci
ayant mis en doute le fait du Génocide arménien. L'avocat Robertson a
rappelé au requérant que
>
L'audience de l'affaire > devant la Grande
Chambre de la Cour européenne des droits de l'Homme dans laquelle
l'Arménie était impliquée en tant que tierce partie, fait la >
de la plupart des quotidiens. Ceux-ci soulignent que l'Etat turc, qui
avait lui-mĂȘme condamnĂ© naguĂšre le requĂ©rant Dogu Perinçek Ă de
lourdes peines pour >, avait dĂ©pĂȘchĂ© Ă Strasbourg une
délégation importante constituée d'hommes politiques, d'anciens
Ministres, de diplomates et de représentants d'ONG pour soutenir son
citoyen. Celui-ci a affirmé qu'il n'avait jamais dit > contre les Arméniens et qu'il admettait que des massacres des
Arméniens avaient lieu il y a cent ans, sans les considérer comme un
génocide. Le requérant a dit vouloir apparaßtre devant la Cour pour
défendre la liberté d'expression et >.
Selon Hayots Achkhar, le > du requérant a atteint son apogée
lorsqu'il a qualifié Talat pacha d'>. Les
quotidiens font l'éloge de l'équipe d'avocats qui défendait les
intĂ©rĂȘts de l'ArmĂ©nie devant la Cour, Ă savoir GuĂ©vorg Kostanian,
représentant du Gouvernement arménien au sein de la CEDH et procureur
général d'Arménie, ainsi que les avocats internationaux Goeffrey
Robertson et Amal Clooney. Ceux-ci se sont penchés sur des faits
indéniables du Génocide arménien, tout en indiquant > présentes dans le premier jugement de la Cour, celle-ci
ayant mis en doute le fait du Génocide arménien. L'avocat Robertson a
rappelé au requérant que