REVUE DE PRESSE
Le père arménien n'a pas pris l'avion pour la Georgie
Samvel Vartapetian, 31 ans, Georgien, demandeur d'asile à Albi depuis
2011, interpellé le 20 janvier à Carmaux lors d'un banal contrôle
d'entreprise, et retenu depuis au centre de rétention de Cornebarrieu,
n'est pas monté dans l'avion qui devait l'expulser vers la Georgie. Ce
père de jumeaux de 2 ans et d'un bébé de 15 mois est toujours maintenu
en centre de rétention, tout comme Armen Khanoyan, 41 ans, interpellé
en même temps à Carmaux (La Dépêche-du-Midi des 24 et 29 janvier)
Jeudi après-midi, les deux épouses avec leurs enfants, accompagnées
par une représentante de RESF 81, avaient réussi à voir leur mari au
centre de rétention. C'est en repartant que Manouchak Vartapetian a
appris, au détour d'une remarque lchée par un policier, que son mari
devait être mis dans un avion pour la Géorgie le lendemain.
Hier en fin d'après-midi, Patrick Garnier, le nouveau président du
secours catholique tarnais, a été reçu par le directeur de cabinet du
préfet, les deux épouses ont dû rester dans la salle d'attente.
Le père arménien n'a pas pris l'avion pour la Georgie
Samvel Vartapetian, 31 ans, Georgien, demandeur d'asile à Albi depuis
2011, interpellé le 20 janvier à Carmaux lors d'un banal contrôle
d'entreprise, et retenu depuis au centre de rétention de Cornebarrieu,
n'est pas monté dans l'avion qui devait l'expulser vers la Georgie. Ce
père de jumeaux de 2 ans et d'un bébé de 15 mois est toujours maintenu
en centre de rétention, tout comme Armen Khanoyan, 41 ans, interpellé
en même temps à Carmaux (La Dépêche-du-Midi des 24 et 29 janvier)
Jeudi après-midi, les deux épouses avec leurs enfants, accompagnées
par une représentante de RESF 81, avaient réussi à voir leur mari au
centre de rétention. C'est en repartant que Manouchak Vartapetian a
appris, au détour d'une remarque lchée par un policier, que son mari
devait être mis dans un avion pour la Géorgie le lendemain.
Hier en fin d'après-midi, Patrick Garnier, le nouveau président du
secours catholique tarnais, a été reçu par le directeur de cabinet du
préfet, les deux épouses ont dû rester dans la salle d'attente.