KARABAGH
Les législateurs de l'Artsakh condamnent les pogroms de Bakou
En commémoration du 25e anniversaire des pogroms arméniens de Bakou,
l'Assemblée nationale de l'Artsakh a émis une adresse condamnant la
tragédie.
Décrivant les actes de violence et les meurtres contre les 400 000
membres de la communauté arménienne comme un crime qui équivaut à un
génocide, elle a appelé à une évaluation par les organisations
internationales.
"Le scénario de la violence de 1988 à Soumgaït se répéta à Bakou en
1990, laissant la ville sans Arméniens," a indiqué le communiqué.
"Les massacres et les viols contre la population arménienne de Bakou
relèvent de la définition juridique de la Convention [des Nations
Unies] sur la prévention et la répression du crime de génocide.
"Le terrorisme au niveau de l'Etat s'est également poursuivi dans le
Haut-Karabagh dont la population majoritairement arménienne a été
soumis à une opération perpétré par l'élite dirigeante de
l'Azerbaïdjan d'Avril à Août 1991 et laissant 24 villages arméniens
déplacés, détruits et [endommagés par] le feu.
"Ce n'est que grce à la défense des Arméniens de l'Artsakh que les
politiques azerbaïdjanaises ciblant les déplacements et les
assassinats de masse de la population arménienne ne sont jamais
devenus une réalité.
Les législateurs de l'Artsakh condamnent les pogroms de Bakou
En commémoration du 25e anniversaire des pogroms arméniens de Bakou,
l'Assemblée nationale de l'Artsakh a émis une adresse condamnant la
tragédie.
Décrivant les actes de violence et les meurtres contre les 400 000
membres de la communauté arménienne comme un crime qui équivaut à un
génocide, elle a appelé à une évaluation par les organisations
internationales.
"Le scénario de la violence de 1988 à Soumgaït se répéta à Bakou en
1990, laissant la ville sans Arméniens," a indiqué le communiqué.
"Les massacres et les viols contre la population arménienne de Bakou
relèvent de la définition juridique de la Convention [des Nations
Unies] sur la prévention et la répression du crime de génocide.
"Le terrorisme au niveau de l'Etat s'est également poursuivi dans le
Haut-Karabagh dont la population majoritairement arménienne a été
soumis à une opération perpétré par l'élite dirigeante de
l'Azerbaïdjan d'Avril à Août 1991 et laissant 24 villages arméniens
déplacés, détruits et [endommagés par] le feu.
"Ce n'est que grce à la défense des Arméniens de l'Artsakh que les
politiques azerbaïdjanaises ciblant les déplacements et les
assassinats de masse de la population arménienne ne sont jamais
devenus une réalité.