LYON
Exposition de Khajak Ohanian Alep 1915
Alep 1915... Témoignages
Photographies de Rajak Ohanian
Du jeudi 5 mars à 13h00 au samedi 16 mai à 19h00 - Fondation Bullukian
Exposition organisée par la Bibliothèque municipale de Lyon en
partenariat avec la Fondation Bullukian et le Centre National de la
Mémoire Arménienne, dans le cadre de la commémoration du centenaire du
génocide des Arméniens.
POUR SON PÈRE ET L'ENSEMBLE DES VICTIMES DES GÉNOCIDES
Rajak Ohanian pensait mener un projet éminemment intime en se rendant
à Alep pour retrouver les traces de l'orphelinat où son père Garo
(Garabed), déporté en Syrie pendant le génocide des Arméniens, fut
recueilli.
Comme à son habitude, l'artiste nous livre sa traversée du temps par
le traitement en noir et blanc de ses photographies, en grand format.
La superposition de ces témoignages et de ces images d'un présent
proche est bouleversante lorsque l'on réalise qu'Alep, une des plus
vieilles villes du monde, est elle aussi en train de disparaître.
Parti d'un travail personnel, Rajak Ohanian réalise une oeuvre
universelle, nous rappelant avec précision et attention la fragilité
des choses. Il aura fait sienne l'idée que c'est toujours sous un mode
particulier, en un lieu et en temps déterminés, que prend forme et
s'exprime l'universalité du genre humain.
est son premier travail où se précise son regard
sur l'homme et les communautés. À New-York et en Algérie, il fixe la
trace des formes passagères de l'existence humaine. Mais à l'aube des
années 1980, des problèmes de santé l'obligent à être hospitalisé à
Dijon. Une réflexion s'engage alors sur la forme de sa photographie.
Pendant sa convalescence il trouve, dans le calendrier des P.T.T de la
Côte d'Or, un petit village de 44 habitants. Il s'installe dans
l'école et y reste deux ans. Il expose > en 1999, acquise par la
Cité Nationale de l'Histoire de l'immigration (CNHI), sans oublier
From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress
Exposition de Khajak Ohanian Alep 1915
Alep 1915... Témoignages
Photographies de Rajak Ohanian
Du jeudi 5 mars à 13h00 au samedi 16 mai à 19h00 - Fondation Bullukian
Exposition organisée par la Bibliothèque municipale de Lyon en
partenariat avec la Fondation Bullukian et le Centre National de la
Mémoire Arménienne, dans le cadre de la commémoration du centenaire du
génocide des Arméniens.
POUR SON PÈRE ET L'ENSEMBLE DES VICTIMES DES GÉNOCIDES
Rajak Ohanian pensait mener un projet éminemment intime en se rendant
à Alep pour retrouver les traces de l'orphelinat où son père Garo
(Garabed), déporté en Syrie pendant le génocide des Arméniens, fut
recueilli.
Comme à son habitude, l'artiste nous livre sa traversée du temps par
le traitement en noir et blanc de ses photographies, en grand format.
La superposition de ces témoignages et de ces images d'un présent
proche est bouleversante lorsque l'on réalise qu'Alep, une des plus
vieilles villes du monde, est elle aussi en train de disparaître.
Parti d'un travail personnel, Rajak Ohanian réalise une oeuvre
universelle, nous rappelant avec précision et attention la fragilité
des choses. Il aura fait sienne l'idée que c'est toujours sous un mode
particulier, en un lieu et en temps déterminés, que prend forme et
s'exprime l'universalité du genre humain.
est son premier travail où se précise son regard
sur l'homme et les communautés. À New-York et en Algérie, il fixe la
trace des formes passagères de l'existence humaine. Mais à l'aube des
années 1980, des problèmes de santé l'obligent à être hospitalisé à
Dijon. Une réflexion s'engage alors sur la forme de sa photographie.
Pendant sa convalescence il trouve, dans le calendrier des P.T.T de la
Côte d'Or, un petit village de 44 habitants. Il s'installe dans
l'école et y reste deux ans. Il expose > en 1999, acquise par la
Cité Nationale de l'Histoire de l'immigration (CNHI), sans oublier
From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress