REVUE DE PRESSE
Profs d'histoire en première ligne
Le 27 janvier aura lieu la journée européenne de la mémoire de
l'Holocauste et de la prévention des crimes contre l'humanité. Il y a
70 ans, les Alliés découvraient l'horreur des camps de concentration.
La Shoah claquait au visage des libérateurs. Dans les écoles de la
République, des élèves nient aujourd'hui ce fait historique. Comme en
témoigne ce professeur d'histoire-géo. >.
La Shoah mais aussi le conflit israélo- palestinien, la guerre
d'Algérie, le génocide arménien, l'histoire des religions... autant de
pages de l'Histoire qui suscitent le débat, la contestation voire le
refus.
Alors, face au déni, au manque de connaissances, aux idées préconçues,
les profs luttent avec leurs armes. >, indique cette enseignante
bas-rhinoise. >.
>
>, commente ce professeur, comme si la Shoah, qui n'est
pourtant abordée qu'en troisième et en première, était inlassablement
ressassée. Pourtant, elle ne l'est pas plus que les deux guerres
mondiales ou la Révolution.
Le conflit israélo-palestinien est sûrement l'événement historique le
plus compliqué à enseigner. >
>, ajoute cette collègue. >.
Ces contestations illustrent pour cette enseignante >. >. Encore faut-il entendre ces professeurs
qui, chaque jour, vont au charbon. >. Des jeunes qui, par manque de vocabulaire, peinent Ã
argumenter et n'alimentent leur réflexion qu'avec ce qu'ils trouvent
sur les réseaux sociaux. Cet autre prof critique, lui, la position des
proviseurs, des principaux, du rectorat. >
DNA
samedi 28 mars 2015,
Stéphane (c)armenews.com
Profs d'histoire en première ligne
Le 27 janvier aura lieu la journée européenne de la mémoire de
l'Holocauste et de la prévention des crimes contre l'humanité. Il y a
70 ans, les Alliés découvraient l'horreur des camps de concentration.
La Shoah claquait au visage des libérateurs. Dans les écoles de la
République, des élèves nient aujourd'hui ce fait historique. Comme en
témoigne ce professeur d'histoire-géo. >.
La Shoah mais aussi le conflit israélo- palestinien, la guerre
d'Algérie, le génocide arménien, l'histoire des religions... autant de
pages de l'Histoire qui suscitent le débat, la contestation voire le
refus.
Alors, face au déni, au manque de connaissances, aux idées préconçues,
les profs luttent avec leurs armes. >, indique cette enseignante
bas-rhinoise. >.
>
>, commente ce professeur, comme si la Shoah, qui n'est
pourtant abordée qu'en troisième et en première, était inlassablement
ressassée. Pourtant, elle ne l'est pas plus que les deux guerres
mondiales ou la Révolution.
Le conflit israélo-palestinien est sûrement l'événement historique le
plus compliqué à enseigner. >
>, ajoute cette collègue. >.
Ces contestations illustrent pour cette enseignante >. >. Encore faut-il entendre ces professeurs
qui, chaque jour, vont au charbon. >. Des jeunes qui, par manque de vocabulaire, peinent Ã
argumenter et n'alimentent leur réflexion qu'avec ce qu'ils trouvent
sur les réseaux sociaux. Cet autre prof critique, lui, la position des
proviseurs, des principaux, du rectorat. >
DNA
samedi 28 mars 2015,
Stéphane (c)armenews.com