L'ARMENIE DEPASSE L'AZERBAIDJAN DANS LA GUERRE DE L'INFORMATION
Krikor Amirzayan
armenews.com
vendredi 20 avril 2012
Selon le politologue armenien Hrant Melik-Chahnazarian, l'Armenie
devance l'Azerbaïdjan en matière de " guerre d'information ". Il
repond ainsi aux propos du president azeri Ilham Aliev qui a appele
a la lutte contre " le lobby armenien de la diaspora ". Selon H.
Melik-Chahnazarian, l'Armenie et la diaspora sont mieux prepares que
l'Azerbaïdjan en matière de technologies de l'information. " Les Azeris
n'ont que très peu d'influence sur les Armeniens dans le domaine de
ces technologies " dit le politologue qui ajoute " Les informations
emises par l'Armenie trouvent en revanche leurs echos au sein des
peuples qui vivent en Azerbaïdjan et qui considèrent ce pays comme
une prison, grâce aux medias armeniens ". Hrant Melik-Chahnazarian
pense que la meilleure information est l'information libre. Il ajoute
que les sources d'informations azeries etant muselees par le regime
dictatorial de Bakou, ces dernières n'ont que très peu d'influence
sur les peuples du fait du manque de fiabilite de ces informations.
Krikor Amirzayan
armenews.com
vendredi 20 avril 2012
Selon le politologue armenien Hrant Melik-Chahnazarian, l'Armenie
devance l'Azerbaïdjan en matière de " guerre d'information ". Il
repond ainsi aux propos du president azeri Ilham Aliev qui a appele
a la lutte contre " le lobby armenien de la diaspora ". Selon H.
Melik-Chahnazarian, l'Armenie et la diaspora sont mieux prepares que
l'Azerbaïdjan en matière de technologies de l'information. " Les Azeris
n'ont que très peu d'influence sur les Armeniens dans le domaine de
ces technologies " dit le politologue qui ajoute " Les informations
emises par l'Armenie trouvent en revanche leurs echos au sein des
peuples qui vivent en Azerbaïdjan et qui considèrent ce pays comme
une prison, grâce aux medias armeniens ". Hrant Melik-Chahnazarian
pense que la meilleure information est l'information libre. Il ajoute
que les sources d'informations azeries etant muselees par le regime
dictatorial de Bakou, ces dernières n'ont que très peu d'influence
sur les peuples du fait du manque de fiabilite de ces informations.