DES MANIFESTATIONS ONT EU LIEU POUR PROTESTER CONTRE LA CONDAMNATION DES MILITANTS
Laetitia
armenews.com
mercredi 25 juillet 2012
Plus d'une centaine de personnes ont manifeste devant le bureau du
Procureur general mardi 24 juillet 2012. Ils protestent contre la
condamnation de quatre jeunes militants de l'opposition qui se sont
affrontes avec la police l'annee dernière. Un tribunal les a condamnes
a Erevan entre deux et six ans de prison. Le Congrès national armenien
(HAK) et autres groupes d'opposition considèrent que ces condamnations
sont politiquement motivees. Tigran Arakelian, un chef de file
du HAK a eu la peine la plus lourde. Arakelian et plusieurs autres
militants se sont affrontes avec des policiers dans des circonstances
non elucidees. " Ce verdict va a l'encontre de chacun de nous ", a
affirme Nikol Pashinian, un chef de file du HAK." Il y a un an, nous
avons dit qu'il n'y avait plus de prisonniers politiques en Armenie.
Maintenant nous pouvons dire qu'il y a des prisonniers politiques. La
prison ne nous fait pas peur, ce n'est pas cela qui va nous arreter
", a declare Pashinian, s'adressant aux autorites armeniennes. Les
autorites nient toute motifs politiques derrière cette affaire.
Laetitia
armenews.com
mercredi 25 juillet 2012
Plus d'une centaine de personnes ont manifeste devant le bureau du
Procureur general mardi 24 juillet 2012. Ils protestent contre la
condamnation de quatre jeunes militants de l'opposition qui se sont
affrontes avec la police l'annee dernière. Un tribunal les a condamnes
a Erevan entre deux et six ans de prison. Le Congrès national armenien
(HAK) et autres groupes d'opposition considèrent que ces condamnations
sont politiquement motivees. Tigran Arakelian, un chef de file
du HAK a eu la peine la plus lourde. Arakelian et plusieurs autres
militants se sont affrontes avec des policiers dans des circonstances
non elucidees. " Ce verdict va a l'encontre de chacun de nous ", a
affirme Nikol Pashinian, un chef de file du HAK." Il y a un an, nous
avons dit qu'il n'y avait plus de prisonniers politiques en Armenie.
Maintenant nous pouvons dire qu'il y a des prisonniers politiques. La
prison ne nous fait pas peur, ce n'est pas cela qui va nous arreter
", a declare Pashinian, s'adressant aux autorites armeniennes. Les
autorites nient toute motifs politiques derrière cette affaire.