Voix de la Russie
22 aout 2014
Le Haut-Karabagh : une médiation est incontournable
Par La Voix de la Russie | La situation n'était pas à nouveau au calme
début août dans le Haut-Karabagh : échanges de tirs, plusieurs
dizaines d'engagés volontaires et d'officiers de carrière péris du
côté arménien et azéri. Le vieux litige territorial a repris de plus
bel. Les sceptiques prédisaient une guerre d'envergure entre l'Arménie
et l'Azerbaïdjan. Or ensuite les armes se sont pratiquement tues, en
donnant une chance aux diplomates et aux politiques de négocier les
conditions d'une trêve et du règlement des problèmes en souffrance.
Les accrochages entre les militaires se sont arrêtés après une
rencontre tripartite des présidents de Russie, d'Arménie et
d'Azerbaïdjan, tenue le 10 août à Sotchi à l'initiative de Vladimir
Poutine. Et même si aucune entente ni décision importante n'a été
adoptée, les pourparlers avec la participation du leader du pays,
auquel l'Arménie comme l'Azerbaïdjan sont liés sur de nombreux plans,
ont incité les parties au dialogue.
Le président de la Société experte pour le Caucase Alexandre Krylov a
noté que de longues années d'efforts consentis par Moscou et le groupe
de Minsk de l'OSCE pour le règlement du conflit à propos du
Haut-Karabagh visent avant tout à réunir des conditions pour le
dialogue. Mais c'est à Erevan et à Bakou qu'il appartient de trouver
une solution au conflit.
>
Voici comment le politologue russe Andreï Arechev voit le rôle de la
Russie dans le règlement de la question du Haut-Karabagh.
From: A. Papazian
22 aout 2014
Le Haut-Karabagh : une médiation est incontournable
Par La Voix de la Russie | La situation n'était pas à nouveau au calme
début août dans le Haut-Karabagh : échanges de tirs, plusieurs
dizaines d'engagés volontaires et d'officiers de carrière péris du
côté arménien et azéri. Le vieux litige territorial a repris de plus
bel. Les sceptiques prédisaient une guerre d'envergure entre l'Arménie
et l'Azerbaïdjan. Or ensuite les armes se sont pratiquement tues, en
donnant une chance aux diplomates et aux politiques de négocier les
conditions d'une trêve et du règlement des problèmes en souffrance.
Les accrochages entre les militaires se sont arrêtés après une
rencontre tripartite des présidents de Russie, d'Arménie et
d'Azerbaïdjan, tenue le 10 août à Sotchi à l'initiative de Vladimir
Poutine. Et même si aucune entente ni décision importante n'a été
adoptée, les pourparlers avec la participation du leader du pays,
auquel l'Arménie comme l'Azerbaïdjan sont liés sur de nombreux plans,
ont incité les parties au dialogue.
Le président de la Société experte pour le Caucase Alexandre Krylov a
noté que de longues années d'efforts consentis par Moscou et le groupe
de Minsk de l'OSCE pour le règlement du conflit à propos du
Haut-Karabagh visent avant tout à réunir des conditions pour le
dialogue. Mais c'est à Erevan et à Bakou qu'il appartient de trouver
une solution au conflit.
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Voici comment le politologue russe Andreï Arechev voit le rôle de la
Russie dans le règlement de la question du Haut-Karabagh.
From: A. Papazian