MEDIAS
The Financial Times met en doute le potentiel du gaz de l'Azerbaïdjan
exporté vers l'Europe
Le périodique américain « The Financial Times » vient par un article
publié dans son dernier numéro, de mettre en doute le potentiel des
réserves en gaz de l'Azerbaïdjan. « The Financial Times » affirme
également que l'Europe a mal misé en se fondant sur le gaz azéri comme
source d'approvisionnement. La Communauté européenne a au cours de ces
dix dernières années planifié l'approvisionnement de l'Europe par le
gaz azéri en réalisant des investissements massifs. Tout cela selon «
The Financial Times » pour diminuer le poids de l'approvisionnement en
gaz russe. Selon le périodique américain, l'Europe aurait dépensé
quelque 45 milliards de dollars pour l'option d'approvisionnement en
gaz azéri. Par les gazoducs TAP et TANAP l'Europe recevra chaque année
10 milliards de mètres cubes de gaz azéri. Mais ce gaz ne couvrira
qu'à peine 2% des besoins en consommation de l'Europe. Et l'humour qui
s'empare de cette faible quantité, selon « The Financial Times » il y
a des personnes qui affirment avec humour que ce gaz azéri par son
faible volume ne suffit qu'à faire un kébab. Néanmoins le journal
écrit que « malgré ces prévisions, certaines personnes affirment que
les volumes du gaz azéri seront croissants au détriment du gaz russe.
Ainsi la Bulgarie achètera par an un milliard de mètres cubes de gaz
azéri. Plus tard, ce gaz sera dirigé vers l'Albanie, le Monténégro, la
Bosnie ou la Croatie ». Mais malgré cela, écrit « The Financial Times
», de nombreux prévisionnistes s'interrogent encore sur l'utilité du
gaz azéri pour l'Europe.
Krikor Amirzayan
samedi 4 janvier 2014,
Krikor Amirzayan ©armenews.com
From: Baghdasarian
The Financial Times met en doute le potentiel du gaz de l'Azerbaïdjan
exporté vers l'Europe
Le périodique américain « The Financial Times » vient par un article
publié dans son dernier numéro, de mettre en doute le potentiel des
réserves en gaz de l'Azerbaïdjan. « The Financial Times » affirme
également que l'Europe a mal misé en se fondant sur le gaz azéri comme
source d'approvisionnement. La Communauté européenne a au cours de ces
dix dernières années planifié l'approvisionnement de l'Europe par le
gaz azéri en réalisant des investissements massifs. Tout cela selon «
The Financial Times » pour diminuer le poids de l'approvisionnement en
gaz russe. Selon le périodique américain, l'Europe aurait dépensé
quelque 45 milliards de dollars pour l'option d'approvisionnement en
gaz azéri. Par les gazoducs TAP et TANAP l'Europe recevra chaque année
10 milliards de mètres cubes de gaz azéri. Mais ce gaz ne couvrira
qu'à peine 2% des besoins en consommation de l'Europe. Et l'humour qui
s'empare de cette faible quantité, selon « The Financial Times » il y
a des personnes qui affirment avec humour que ce gaz azéri par son
faible volume ne suffit qu'à faire un kébab. Néanmoins le journal
écrit que « malgré ces prévisions, certaines personnes affirment que
les volumes du gaz azéri seront croissants au détriment du gaz russe.
Ainsi la Bulgarie achètera par an un milliard de mètres cubes de gaz
azéri. Plus tard, ce gaz sera dirigé vers l'Albanie, le Monténégro, la
Bosnie ou la Croatie ». Mais malgré cela, écrit « The Financial Times
», de nombreux prévisionnistes s'interrogent encore sur l'utilité du
gaz azéri pour l'Europe.
Krikor Amirzayan
samedi 4 janvier 2014,
Krikor Amirzayan ©armenews.com
From: Baghdasarian