DESTRUCTION PROGRESSIVE DES ANCIENS QUARTIERS ARMENIENS D'AINTAB
les regrets d'un écrivain Turc qui habite une ancienne maison arménienne
TURQUIE-PATRIMOINE ARMENIEN
Le site Hye Tert affirme que dans la ville d'Aïntab (Ayntab), des
maisons appartenant aux Arméniens jusqu'au génocide arménien de
1915 sont détruits et de nouveaux hôtels y sont construits. Ibrahim
Halil Aycan, un écrivain Turc habitant a Aïntab dans une maison ayant
appartenu a des Arméniens, s'indigne de cette perte de la mémoire. Il
appelle a la défense du patrimoine, de l'identité et de la culture
des peuples. Â" Le peuple arménien survivant de l'un des plus grands
génocides est victimes 100 ans après d'un génocide culturel. Après
leur départ, leurs maisons et constructions continuent d'être
détruites Â" dit-il. Il affirme que le plus ancien quartier
d'Aïntab était celui des Arméniens. Aujourd'hui a la place des
anciennes maisons ayant appartenu aux Arméniens se dresse un centre
de commerces. Sur l'emplacement de l'ancien quartier arménien, se
dressent progressivement des bars, restaurants et hôtels. Chaque coup
de pelle du bulldozer me transperce le cÅ"ur Â" dit Acyan qui affirme
qu'Arméniens et Turcs ont très longtemps cohabité côte-a-côte
a Aïntab.Â" Je vis depuis 26 ans dans une maison ayant appartenu a
des Arméniens Â" dit-il et regrette les souffrances et le départ
des Arméniens. Ibrahim Halil Aycan continue Â" Nous habitons dans les
maisons des Arméniens abandonnées il y a 100 ans. Préservons-les ! A
Aïntab le premier théâtre, le premier journal furent lancés par des
Arméniens. La vie socioculturelle était entre leurs mains. Maintenant
il faut défendre leur culture de la disparition Â".
Krikor Amirzayan
mercredi 30 avril 2014, Krikor Amirzayan ©armenews.com
From: Baghdasarian
les regrets d'un écrivain Turc qui habite une ancienne maison arménienne
TURQUIE-PATRIMOINE ARMENIEN
Le site Hye Tert affirme que dans la ville d'Aïntab (Ayntab), des
maisons appartenant aux Arméniens jusqu'au génocide arménien de
1915 sont détruits et de nouveaux hôtels y sont construits. Ibrahim
Halil Aycan, un écrivain Turc habitant a Aïntab dans une maison ayant
appartenu a des Arméniens, s'indigne de cette perte de la mémoire. Il
appelle a la défense du patrimoine, de l'identité et de la culture
des peuples. Â" Le peuple arménien survivant de l'un des plus grands
génocides est victimes 100 ans après d'un génocide culturel. Après
leur départ, leurs maisons et constructions continuent d'être
détruites Â" dit-il. Il affirme que le plus ancien quartier
d'Aïntab était celui des Arméniens. Aujourd'hui a la place des
anciennes maisons ayant appartenu aux Arméniens se dresse un centre
de commerces. Sur l'emplacement de l'ancien quartier arménien, se
dressent progressivement des bars, restaurants et hôtels. Chaque coup
de pelle du bulldozer me transperce le cÅ"ur Â" dit Acyan qui affirme
qu'Arméniens et Turcs ont très longtemps cohabité côte-a-côte
a Aïntab.Â" Je vis depuis 26 ans dans une maison ayant appartenu a
des Arméniens Â" dit-il et regrette les souffrances et le départ
des Arméniens. Ibrahim Halil Aycan continue Â" Nous habitons dans les
maisons des Arméniens abandonnées il y a 100 ans. Préservons-les ! A
Aïntab le premier théâtre, le premier journal furent lancés par des
Arméniens. La vie socioculturelle était entre leurs mains. Maintenant
il faut défendre leur culture de la disparition Â".
Krikor Amirzayan
mercredi 30 avril 2014, Krikor Amirzayan ©armenews.com
From: Baghdasarian