REVUE DE PRESSE
Cent ans après le génocide, les Arméniens face à la Turquie
>
Harut Sassounian, président du United Armenian Fund aux États-Unis
Vendredi 23 janvier, dans un restaurant du 16° arrondissement
harutsassounian
Harut Sassounian est une des bêtes noires de la diplomatie turque. En
1985, ce natif d'Alep (Syrie) a joué un rôle important pour qu'un
organisme de l'ONU reconnaisse que le massacre des Arméniens par
l'Empire ottoman en 1915-1916 était un génocide (lire ci-dessous, >). Durant la première guerre mondiale, au moins
1,2 million d'Arméniens disparurent du fait de déportations et
d'exécutions sommaires massives ordonnées par le gouvernement au
pouvoir à Istanbul. Mais depuis lors, les autorités turques rejettent
la qualification de génocide et exercent de fortes pressions pour que
la communauté internationale ne la reprennent pas à son compte.
La diaspora arménienne, à l'inverse, est soudée pour obtenir cette
reconnaissance, avec une détermination renforcée cette année, qui
marque le centenaire des massacres. Pour Harut Sassounian, toutefois,
cette campagne doit être complétée par une autre. Personnalité
influente de la diaspora aux États-Unis, il estime que les Arméniens
doivent demander justice, notamment en multipliant les procédures
judiciaires pour spoliation. Une stratégie décryptée vendredi 23
janvier lors d'une interview autour d'un jus d'orange au restaurant Le
Murat, et qu'il a présentée devant une assistance rassemblée samedi 24
janvier à l'Hôtel de Ville d'Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine).
>
>.
>.
>, précise-t-il. >.
>
.
>
>,
ajoute-t-il. >.
>, reprend Harut Sassounian. >.
>, poursuit-il. >,
rappelle l'activiste.
From: Baghdasarian
Cent ans après le génocide, les Arméniens face à la Turquie
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Harut Sassounian, président du United Armenian Fund aux États-Unis
Vendredi 23 janvier, dans un restaurant du 16° arrondissement
harutsassounian
Harut Sassounian est une des bêtes noires de la diplomatie turque. En
1985, ce natif d'Alep (Syrie) a joué un rôle important pour qu'un
organisme de l'ONU reconnaisse que le massacre des Arméniens par
l'Empire ottoman en 1915-1916 était un génocide (lire ci-dessous, >). Durant la première guerre mondiale, au moins
1,2 million d'Arméniens disparurent du fait de déportations et
d'exécutions sommaires massives ordonnées par le gouvernement au
pouvoir à Istanbul. Mais depuis lors, les autorités turques rejettent
la qualification de génocide et exercent de fortes pressions pour que
la communauté internationale ne la reprennent pas à son compte.
La diaspora arménienne, à l'inverse, est soudée pour obtenir cette
reconnaissance, avec une détermination renforcée cette année, qui
marque le centenaire des massacres. Pour Harut Sassounian, toutefois,
cette campagne doit être complétée par une autre. Personnalité
influente de la diaspora aux États-Unis, il estime que les Arméniens
doivent demander justice, notamment en multipliant les procédures
judiciaires pour spoliation. Une stratégie décryptée vendredi 23
janvier lors d'une interview autour d'un jus d'orange au restaurant Le
Murat, et qu'il a présentée devant une assistance rassemblée samedi 24
janvier à l'Hôtel de Ville d'Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine).
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>, précise-t-il. >.
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ajoute-t-il. >.
>, reprend Harut Sassounian. >.
>, poursuit-il. >,
rappelle l'activiste.
From: Baghdasarian