LES PENNES MIRABEAU
La danse pour évoquer l'abîme
Annie Stepanow, présidente de l'association culturelle arménienne de
la commune, est à l'origine de la création de ce grand ballet et
spectacle de danse qui s'intitule 1915, l'abîme et qui retrace une
partie de la vie des Arméniens avant, pendant et après le génocide de
1915 et jusqu'Ă nos jours.
"L'idée du spectacle de danse trottait dans ma tête depuis des années.
Comme nous commémorons le centenaire du génocide que certains pays ne
reconnaissent d'ailleurs pas encore aujourd'hui, le projet a peu Ă peu
pris corps et j'ai demandé à Jacqueline Plan, la chorégraphe
marseillaise de le porter et d'exprimer par la danse Ă la fois
l'histoire douloureuse des Arméniens et notre intégration, notamment
pour ceux qui se sont implantés en France et en particulier dans la
région marseillaise."
Celle-ci a accepté avec enthousiasme : "Je ne suis pas Arménienne, et
personne dans la troupe Ă l'exception d'un musicien ne l'est, ce qui
n'empêche en rien d'adhérer totalement à cette belle démarche
artistique. J' ai compris qu'Annie Stepanow souhaitait qu'au travers
de l'évocation du génocide arménien d'avril 1915, on étende le propos
au souvenir d'autres génocides du XXe siècle. C'était fantastique de
tenter d'exprimer l'indicible avec la danse et la musique, une façon
de dire sous forme de spectacle : plus jamais, ça ! J'ai donc espoir
que cette création interpelle vraiment le public de la salle TIno
Rossi." L'ensemble sera accompagné par Haîk Gouchtchian au doudouk et
Rosen Hristov au clavier.
Ce soir Ă 20h30 Ă l'Espace Tino-Rossi des Pennes. Tarif : 15 EURO. Tel 04
42 09 37 80
samedi 14 mars 2015,
Stéphane (c)armenews.com
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=109087
La danse pour évoquer l'abîme
Annie Stepanow, présidente de l'association culturelle arménienne de
la commune, est à l'origine de la création de ce grand ballet et
spectacle de danse qui s'intitule 1915, l'abîme et qui retrace une
partie de la vie des Arméniens avant, pendant et après le génocide de
1915 et jusqu'Ă nos jours.
"L'idée du spectacle de danse trottait dans ma tête depuis des années.
Comme nous commémorons le centenaire du génocide que certains pays ne
reconnaissent d'ailleurs pas encore aujourd'hui, le projet a peu Ă peu
pris corps et j'ai demandé à Jacqueline Plan, la chorégraphe
marseillaise de le porter et d'exprimer par la danse Ă la fois
l'histoire douloureuse des Arméniens et notre intégration, notamment
pour ceux qui se sont implantés en France et en particulier dans la
région marseillaise."
Celle-ci a accepté avec enthousiasme : "Je ne suis pas Arménienne, et
personne dans la troupe Ă l'exception d'un musicien ne l'est, ce qui
n'empêche en rien d'adhérer totalement à cette belle démarche
artistique. J' ai compris qu'Annie Stepanow souhaitait qu'au travers
de l'évocation du génocide arménien d'avril 1915, on étende le propos
au souvenir d'autres génocides du XXe siècle. C'était fantastique de
tenter d'exprimer l'indicible avec la danse et la musique, une façon
de dire sous forme de spectacle : plus jamais, ça ! J'ai donc espoir
que cette création interpelle vraiment le public de la salle TIno
Rossi." L'ensemble sera accompagné par Haîk Gouchtchian au doudouk et
Rosen Hristov au clavier.
Ce soir Ă 20h30 Ă l'Espace Tino-Rossi des Pennes. Tarif : 15 EURO. Tel 04
42 09 37 80
samedi 14 mars 2015,
Stéphane (c)armenews.com
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=109087